QUESTIONS FRÉQUEMMENT POSÉES
Vous trouverez ici les réponses aux questions sur les détails du service - Conseils juridiques via Internet:
Est-ce que je peux bénéficier des services de KST sans être son Client?
Pourquoi offrons-nous des conseils juridiques sur l’Internet?
Quels sont les services que KST réalise sur l’Internet?
Il est évident que, étant donné la spécificité et la complexité de certaines affaires, il est impossible de réaliser des services sur l’Internet dans tous les cas. Le caractère de certains dossiers fait qu’un contact personnel avec un avocat est indispensable.Toutefois, notre expérience démontre que bien des missions peuvent être réalisées sans rencontrer un avocat. Ceci concerne notamment la préparation:
- d’une analyse juridique,
- d’un projet de conclusions,
- d’un projet de contrat,
- de remarques à un projet de contrat présenté par l’autre partie,
- d’un projet d’un autre document.
Chacune de nos opinions (ou autres documents) est préparée par l’avocat dont le prénom et le nom figurent au-dessous de son texte.
Quels sont les domaines du droit dans lesquels nous conseillons sur l’Internet?
Comment commander un service sur l’Internet?
Que se passera-t-il si le formulaire de question que j’ai envoyé n’est pas suffisant pour préparer une opinion juridique?
Comment puis-je transmettre les documents (copies) nécessaires afin de préparer une opinion juridique?
Pourquoi y a-t-il une question sur l’autre partie au contrat dans le formulaire de question?
Quelles sont les langues dans lesquelles KST réalise des services juridiques sur l’Internet?
Quelle est la procédure concernant les conseils juridiques de KST sur l’Internet?
Est-ce que je signe un contrat pour la prestation de services sur l’Internet?
Pendant quelle durée KST est-elle liée par sa proposition adressée au Client?
Que se passera-t-il si je n’accepte pas la rémunération proposée?
Est-ce que les informations que je transmets afin d’obtenir un conseil juridique seront protégées?
« 1. L’avocat est tenu de respecter la confidentialité de tout ce qu’il a appris en liaison avec la prestation de l’assistance juridique.
2. L’obligation de respecter le secret professionnel ne peut pas être limitée dans le temps.
3. L’avocat ne peut pas être dispensé du devoir de respecter le secret professionnel quant aux faits qu’il a appris lors de la prestation de l’assistance juridique ou du suivi d’un dossier.
4. L’obligation de respecter le secret professionnel ne s’applique pas aux informations transmises en vertu des dispositions de la loi du 16 novembre 2000 sur la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme (J. O. de 2014, position 455) – dans la mesure prévue par ces dispositions.»